Au début de l'été 1997, alors que la Marianne du 14 juillet (Marianne de Luquet) fait son apparition dans les guichets, un philatéliste découvre dans un petit bureau du centre de la France, un fragment de feuille de ce 3,50 francs dépourvu de son coin daté... mais également de toute trace de phosphorescence.
Or, le 3,50 francs n'est pas connu sans bande phosphorescente. Les recherches entreprises alentour ne permettent pas de mettre la main sur d'autres pièces, ni d'en identifier le tirage.
Je suis donc l'heureux détenteur d'un exemplaire de cette rareté parmi les Briat cotée 850 euros... et que j'ai obtenu par échange pour 3, 50 francs en juillet1997.
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A cette époque je venais de découvrir une variété sur le second tirage du TVP Luquet (en fait le premier a être vendu dans les bureaux de poste, le premier tirage ayant été réservé à la confection des souvenirs à l'exception de quelques dizaines de feuilles qui ont été vendus à Paris Louvre). La variété dont j'étais " l'inventeur" montrait une feuille sur deux, une date qui se limitait à un seul chiffre.
qui a intéressé le propriétaire des 3,50 francs.
Et voila comment le 3,50 est entré dans ma collection.
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